Risque
Par Charlottine le dimanche 4 octobre 2015, 13:45 - 366 Alphabétiques - Lien permanent
Allez, je me lance, avec tous les risques que comporte ce retour ...
L'été est passé, l'automne s'installe, je suis de retour à la maison et j'essaye de reprendre le rythme...
J'ai une quantité non négligeable de billets à lire et que ceux qui passent par là m'excusent: je ne suis pas sûre de pouvoir commenter.
Je me suis pratiquement déconnectée du web durant plusieurs semaines: de très bons moments bien réels à vivre avec la famille et les amis: de vrais repas à préparer pour tous et chacun, de longues soirées à partager et ce temps qui passe et s'enfuit.
De sérieuses colères contre ce monde qui va mal et que puis-je faire à ma petite échelle pour l'améliorer ?
Ce violent désir de ne plus allumer la télé (mais mon homme est un peu accro même s'il se défend d'écouter les sirènes de la honte et réagit sainement ) .
Bref, je ne cherche aucune excuse ni échappatoire... Mais je suis toujours là et je vais peu à peu vous retrouver les fidèles des 366 alphabétiques et les autres aussi ...
Et je n'ai pas cessé de lire et tiens mon petit carnet manuscrit dont je pourrai sortir quelques extraits pour mon blog...A voir...
Je reprends aussi mes activités habituelles de l'année : aquagym, atelier d'écriture, chorale, randonnées et théâtre.
Vendredi soir j'ai eu la chance de voir et écouter Philippe Torreton dans Mec: il rend un très bel hommage au grand poète trop peu connu de son vivant (et quel dommage! ) qu'était Allain Leprest . Une soirée exceptionnelle dont l'écho vibre encore en moi...
Commentaires
Content de te revoir, allez ose, il n'y a pas beaucoup de risque à distiller ses mots et ses plaisirs sur son blogue
Moi aussi, Gilsoub, je suis contente de retrouver le petit monde des blogs presque complètement délaissé durant tout ce temps... trop occupé par ailleurs.
Je crois que de moins en moins de gens arrivent à se couper du monde numérique pour ne s'intéresser qu'au monde que l'on a sous les yeux, dont on hume les parfum et... heu... tactile les textures.
Quant à l'anxiogène permanent distillé par lémédias, je confirme l'intérêt grandissant de savoir où se trouve l'interrupteur.
En fait, Mirovinben, la coupure du monde numérique s'est faite insensiblement cet été à la maison du bord de l'eau et lors de notre tour de France, où le monde réel, la famille, les amis, les copains, les découvertes ont pris beaucoup de place et de temps et c'était bien. Maintenant je retrouve mon petit bureau, mes habitudes et je vais essayer de reprendre le fil des blogs amis. Résolution de rentrée ?
Bonne reprise de tes activités alors !
Sinon... Leprest, il pleut sur la mer... entre autres...Magnifique
Oui, ''K',' magnifique Leprest et très bien mis en valeur par un Torreton au coeur vibrant , sans oublier le percussionniste qui l'accompagne et lui renvoie la balle avec talent, Edward Perraud: une très belle première soirée théâtre pour cette saison qui commence.
J'ai eu la chance d'écouter chanter Leprest il y a environ 16 ou 17 ans et des années après j'en ai encore des frissons !
Je ne l'ai jamais vu sur scène, seulement écouté, mais je te comprends, Madleine, c'était un homme tourmenté mais si inspiré: un grand poète !